Question de perspective (II) : la lumière et l’atmosphère

Dans le premier volet de cette série, on a abordé l’importance de la couleur en photographie. On va maintenant se pencher sur quelque chose qui attire énormément l’attention : la lumière et l’atmosphère. On en a entendu parler de la bouche de bons photographes, à la recherche quasi chimérique de la lumière tant aimée. On a observé des compositions où une lumière insignifiante accompagnait un ensemble qui nous saisit irrésistiblement. Autrement dit, le mode inductif de l’artiste pour essayer de nous transposer à ce qu’il a pu vivre et le capturer. Comme toujours, on vous donne des exemples à l’appui.

Irix 45mm f/1.4 Dragonfly
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Importance de la lumière et de l’astmosphère

Exemple 1 : le vieux fauteuil

C’est dans le Comté de Kiero, à presque 300 km d’Helsinki, en Finlande, que j’ai pris cette photo dans une vieille étable de la ferme de mes amis (merci, Artemy, de votre hospitalité). Les lieux abandonnés avec de l’histoire me séduisent énormément car ils revêtent une lumière et une atmosphère uniques. Le vieux fauteuil, au milieu du salon entouré d’objets abandonnés, est un vrai cadeau. J’avais le fort sentiment que quelqu’un allait se rasseoir dessus. La lumière qui rentrait par une baie vitrée vétuste et ses fentes donnaient à l’endroit ses formes et ses volumes découpés, aux clairs-obscurs mystérieux. L’ensemble abîmé, je le visualisais dans une image en noir et blanc. Avec l’exposition et le post-traitement, j’ai toujours essayé d’extrapoler l’ambiance que j’ai respirée pour exécuter l’image. Pour faire ressortir les textures des bois et du fauteuil.

« Le vieux fauteuil ». Nikon D700 avec Samyang 35 mm f1.4. ISO 320, f2 avec 1/50 s. Mesure matricielle. Prise à la main et retouchée en noir et blanc.

Exemple 2 de la lumière et l’atmosphère : un chariot dans la nuit

On reste en Finlande, plus précisément dans la capitale Helsinki. En me promenant dans la rue avec mes amis, je me suis retrouvé avec ce chariot de supermarché abandonné. Cela m’a choqué de voir dans une ville qui prend énormément soin de son environnement, avec des zones de jardins et de loisirs incroyables, un objet du quotidien garé n’importe où. C’était une belle métaphore.

« Un chariot dans la nuit ». Fujifilm X100 avec Fujinon 23 mm f2. ISO 800 F2 à 1/15s. WB 3850 ºK. Mesure moyenne. Prise à la main.

Les derniers rayons du soleil se retiraient timidement, laissant le ciel avec un amalgame de bleus et de roses propres à l’été. Les lumières de la ville se faisaient une place et les deux types de lumière s’entremêlaient l’espace de quelques minutes. Je portais autour du cou un appareil photo pour lequel j’ai une affection toute particulière, qui me permet de faire du reportage à l’ancienne, le Fuji X100. Pour la composition, je souhaitais profiter du grand point de fuite qu’offrait la rue, mais aussi la verticalité des bâtiments qui donnaient la dimension d’échelle. Le chariot sur le côté droit et au premier plan. J’ai rabaissé le point de vue en pliant les jambes, et j’ai mesuré la lumière du mieux possible pour faire ressortir les détails et les textures.

Combiner la lumière et l’atmosphère avec la couleur

Si vous avez lu le précédent article sur l’utilisation de la couleur, vous avez pu constater que cette photo est un autre cadeau : un ciel bleu-rosâtre, des murs jaunes, orangés et verts, avec une touche rose intense et pour achever le tout, les pantalons rouge et bleu vif des jeunes qui s’éloignent. Si l’on tient compte du fait que le chariot tout seul est d’un gris métallique monotone, la fusion des couleurs apporte la meilleure compagnie. Le défi consistait à préserver l’atmosphère de lumière ambiante. Sans ajout de flash.

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J’en profite pour insister sur le fait qu’il s’agit bien d’une photo du style street photography, tellement en vogue de nos jours mais sans pour autant être invasive avec les individus qui peuvent apparaître à l’image. Je crois en effet qu’on abuse des visages d’inconnus sur les sites web, les réseaux sociaux ou pour se présenter à des concours en utilisant l’image de personnes qui n’ont bien souvent pas donné leur accord. C’est la raison pour laquelle je fais en sorte que mes personnages soient inanimés, qu’ils ne se montrent pas clairement ou bien qu’ils s’éloignent. Il est bon de montrer du respect dans ce qu’on fait.

 Exemple 3 : la salle

Voici maintenant une photo à l’aspect plus sérieux. Il y a une thématique sur laquelle on m’interroge souvent car elle intéresse énormément : le reportage social. Les élèves, les amateurs de photographie et même des collègues des deux secteurs s’assoient avec moi pour évoquer sa préparation et sa réalisation. Lorsqu’on visite des endroits éloignés de son environnement quotidien, on a tendance à visualiser et observer les coutumes et les manières de vivre de l’endroit en question. Bien entendu, on visite les enclaves et les constructions les plus emblématiques du lieu mais c’est l’ensemble qui fait l’expérience.

« La salle ». Nikon D610 avec Samyang 14 mm f2.8. ISO 200 à f5,6 avec 1/60 s. WB 4600 ºK. Mesure pondérée au centre. Prise à la main. Mode manuel.

Je fais une parenthèse sous la forme d’une recommandation : ne vous obsédez pas à l’idée de tout capturer comme si la vie s’arrêtait. Profitez de votre voyage avec les yeux, pas avec l’appareil photo. C’est l’esprit qui se nourrit de l’expérience, pas l’appareil. Ce dernier va immortaliser ces souvenirs qui feront ensuite parler de ladite expérience mais qui ne la remplaceront pas. C’est mon expérience qui m’a inspiré cette réflexion, lorsque de retour de voyage, je voyais que mon propre travail et mon impatience m’avaient stressé et privé de profiter pleinement de l’endroit.

Un voyage photo pour la prise de conscience

J’ai pris cette photo lorsque j’étais à Cracovie et j’ai eu envie de visiter un endroit auquel j’avais consacré un travail par le passé mais qu’il me restait encore à « vivre » : le camp de concentration nazi d’Auchwitz.

La photo présente la salle où arrivaient les prisonniers pour être sélectionnés, séparés, puis conduits par groupes à d’autres dépendances Elle se situe à l’extrémité du camp de Birkinau, à Auchwitz II. Pendant que j’étais dans la zone, personne n’est venu, bien qu’il y ait eu beaucoup de visiteurs ce jour-là, au mois de mai. Il faut dire qu’il fallait beaucoup marcher pour arriver jusque-là et les groupes prennent généralement la route la plus courte et connue.

Toute ma visite a été accompagnée d’une profonde réflexion interne. En silence. J’essayais de comprendre en permanence le caractère irrationnel dont peut faire preuve l’humain. Dans chaque dépendance, j’observais, je lisais et j’intériorisais. Puis avec mon appareil photo, j’ai essayé de saisir l’atmosphère pour que le spectateur la ressente en voyant les photos, comme vous maintenant.

Utiliser la composition pour créer la lumière et l’atmosphère

Dans ma composition, j’ai choisi le point de vue où les nazis montaient les tables, avec les prisonniers qui rentraient en face. Avec un grand angle, je pouvais capturer presque toute la salle dans une seule prise. Le coucher de soleil faisait son apparition aux fenêtres, avec ses couleurs dorées. Comme il s’agissait d’un intérieur, se posait le problème du fort contraste : l’obscurité dedans, l’excès de luminosité dehors. Je voulais que le paysage qu’on voyait à travers les fenêtres apparaisse à l’image et qu’il ne soit pas une grosse tache blanche surexposée, comme cela arrive souvent. Je souhaitais aussi capturer tous les détails des formes qui faisaient rebond, des ombres et des textures internes, aussi je devais bien mesurer la lumière. Le résultat est fidèle à ce que je voyais : un grand espace vide où le poids de l’histoire se fait sentir dans les murs.

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Exemple 4 de la lumière et l’atmosphère : la fête foraine en folie

Nous sommes maintenant au carnaval de Puerto del Rosario, à Fuerteventura, aux Îles Canaries, en Espagne. Outre le traditionnel ballet de couleurs, de déguisements, de carrosses et de mises en scène des galas, s’il y a quelque chose qui caractérise une fête foraine, ce sont bien ses attractions. Elles étaient nombreuses, cette année, si bien que j’avais en tête d’en capturer la lumière et l’atmosphère.

Avec mon matériel sur les bras, j’ai recherché une bonne composition vers neuf heures du soir, quand la foule s’était un peu dissipée. J’ai choisi l’esplanade pour capturer les deux attractions les plus marquantes : le bateau et la grande roue. Une autre chose que j’avais bien à l’esprit consistait à jouer sur la vitesse d’obturation pour en tirer une prise amusante où tout semblait vertige. Les occupants du bateau semblent ainsi être accrochés par les dents pour ne pas être éjectés. Quant à la grande roue, on dirait un yo-yo géant avec le personnel qui crierait : « que quelqu’un arrête ça ! ». Mais tout cela n’est qu’une simple illusion d’optique.

« La fête foraine en folie ». Canon 5D Mark II, avec Samyang 14 mm f2.8. ISO 100 à f11 avec 10 s. WB 2750 ºK. Mesure ponctuelle. Avec un trépied. Mode manuel.

Créer la lumière et l’atmosphère avec la vitesse d’obturation

Après avoir mesuré en mode ponctuel la lumière (pour passer du fond noir et se concentrer sur ce qui est éclairé), choisi le cadre et placé l’appareil photo sur un trépied au ras du sol pour éviter les tremblements, tout en en profitant pour baisser l’ISO au maximum et éviter ainsi le bruit, on sélectionne f/11 pour obtenir la profondeur de champ et réduire la vitesse à 10 secondes, que j’estime suffisante pour obtenir le mouvement mais sans exagérer comme cela serait arrivé en choisissant 30 secondes, par exemple.

La sensation de vitesse est énorme. La couleur est reine, ainsi que l’atmosphère des lumières si frappantes dans ces environnements. Pour déclencher l’appareil photo, j’ai utilisé une télécommande intervallomètre mais on peut aussi s’en passer, au profit de la fonction d’auto-déclenchement et programmer ainsi la durée. Ce qui évitera de bouger l’appareil photo si l’on appuie sur le bouton-déclencheur.

Exemple 5 : la moto solitaire

Parfois, il n’est pas nécessaire de parcourir de grandes distances pour obtenir une jolie photo. En pensant à cet article, dans mon parking souterrain, j’observais depuis quelques jours déjà la moto à la touche vintage de l’un de mes voisins, ainsi que la lumière et son atmosphère solitaire dans le parking. J’y suis retourné quelques jours après et j’ai eu la chance de ne pas trouver d’autre véhicule garé à côté et clic ! J’avais en tête une idée de film de boxe, comme Million Dollar Baby, de Clint Eastwood, où les lumières zénithales des néons provoquent des ombres plus dures et des volumes très marqués à l’image.

« Moto solitaire ». Fujifilm X100 avec Fujinon 23 mm f2. ISO 1600 à f2.8 con 1/40s. WB 5650 ºK. Mesure moyenne. Prise à la main.

Le premier plan et le fond à gauche sont dans la pénombre. La lumière gagne du terrain à mesure qu’elle avance vers sa source, qu’elle projette en grande partie sur le mur d’en face. Son rebond sur le sol lui confère cet aspect de quadrilatère avec les lignes marquées et usées du ciment. La moto et son ombre se dessinent grâce à tout cela. La sensation d’espace et d’échelle est provoquée par le fait de laisser une grande partie visible du plafond et la disposition dans la composition des colonnes. On a à nouveau de la chance avec les couleurs et la grosse ligne de couleur rouge intense qui parcourt le mur, donne le coup de pinceau nécessaire pour éviter d’avoir un ensemble monotone gris. Si vous êtes capable d’observer votre environnement immédiat et d’en profiter, alors peu de choses vous échapperont lorsque vous voyagerez.

 Exemple 6 : « Hoy ».

On change complètement de registre, tout en restant dans la thématique de l’article : la recherche de l’atmosphère. Il s’agit de photos d’un projet audiovisuel proche du cinéma. Filmé avec une caméra similaire à la 4K de Blackmagic, pour le DVD du groupe de musique canarien Amolán Romántico.

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Sur la première image ci-dessous, celle qui présente la chanson « Hoy », rendue célèbre à l’époque par Gloria Estefan et dont le directeur musical Sergio Hernández (qui l’interprète aussi) a fait des arrangements incroyables et dynamiques, on voit une mise en scène chaude. Avec de tons ocres, oranges, dorés, propre à un établissement à l’ambiance latine. Le montage retranscrit ce dynamisme en alternant des plans ouverts avec des plans plus serrés en mouvement.

Le plan présenté ici est une contre-plongée réalisée avec un Samyang 35 mm depuis la scène même pour offrir un point de vue cinématographique et plus marquant, qui fait ressortir la figure majestueuse de l’interprète et sa tenue. J’en ai profité pour recueillir l’atmosphère produite par les projecteurs sur lui, qui me plaisaient tant, ainsi que les fumées utilisées pour le concert. Observez la qualité de détail obtenue et la netteté du visage du chanteur. À signaler que l’appareil photo présente un facteur de multiplication d’1,7x, si bien que le 35 mm devient un 59,5 mm.

« Hoy ». 35mm f1.4. 400ASA. f2.8 a 216º de shutter y 25fps. WB 4000ºK. Cámara al hombro.

Exemple 7: « Con te partirò »

Pour le dernier exemple, on reste sur le tournage du DVD musical. Cette captation a été un vrai défi : des scènes sombres, des lumières ambiantes ténues, différentes prises et la nécessaire continuité des raccords. Grâce à divers appuis, aux objets lumineux et à la latitude d’exposition de la caméra, tout cela s’est finalement bien résolu.

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Comme vous pouvez l’observer, chaque chanson a sa propre atmosphère et des lumières spécifiques, aussi il convient de bien l’étudier et de la retranscrire le mieux possible. Ici est présenté le fameux « Con te partirò”, avec les chanteurs Sandra García et Guillermo González, ainsi que Ruth Rodríguez qui accompagne au piano. Dans ce plan fixe, il s’agit de recueillir tous les éléments minimalistes de la scène avec leur atmosphère et leur détail. Les températures de couleur, comme on peut le voir, constituent un autre défi, du fait de leurs tonalités distinctes dans une scénographie. Mais tout cela peut se corriger au montage avec des logiciels comme Premiere CC et DaVinci Resolve.

« Con te partirò ». Blackmagic Production Camera de 4K et Smayang 16 mm T2.2. 400ASA à f2.,5 avec 270º et 25 IPS shutter. WB 5000ºK. Avec un trépied.

Le Samyang 16 mm VDSLR T2.2 s’est avérée une belle surprise pour la netteté et la qualité de ses résultats. Avec un facteur de multiplication d’1,7x, on obtient une incroyable focale de 27,2 mm, soit presque la distance focale de 28 mm si courante dans le monde du cinéma.

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Conclusion sur la lumière et l’atmosphère

Voilà pour notre article consacré à l’observation de la lumière et de l’atmosphère des endroits qu’on visite ou bien où l’on travaille. On espère vous avoir aidé et qu’à partir de maintenant, outre la composition, la couleur et l’équipement, vous observerez la magie de vos environnements. On vous souhaite de réussir de belles photos !

Texte original (traduit de l’espagnol) et photos : © José Luis Valdivia

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